A l’occasion d’un colloque organisé par les CCE Auvergne Rhône-Alpes sur l’attractivité de la France, David Douillet, le Champion de Judo et ancien Ministre a fait un plaidoyer convaincant pour que les entreprises s’approprient la manifestation et donne une image positive de la France.
C’est dans 400 jours que commenceront les Jeux olympiques de Paris, manifestation planétaire qui accueillera plus de 15 millions de visiteurs étrangers qui seront regardés par plus de 4 milliards de personnes sur la planète. C’est sans doute l’évènement dans le monde qui a le plus d’impact médiatique.
« Les valeurs que porte le sport sont universelles et extrêmement positives, de performance, de tolérance, d’inclusion. » explique David Douillet. Pour lui, il est de notre responsabilité d’utiliser cette image positive au profit de la France et de nos entreprises et de nos savoir-faire. « L’impact est énorme, quand je suis allé aux Jeux olympiques de Sydney, j’ai eu l’impression que tous les Australiens faisaient partie du comité d’organisation, tellement ils étaient concernés et aux petits soins. Cela donne une image extrêmement positive du pays et a des retentissements sur le long terme sur l’envie des visiteurs de travailler avec le pays. »
David Douillet souhaite que nous nous accaparions du sujet, et que chacun en fasse une occasion pour accueillir des clients, donner une image positive, valoriser son savoir-faire. « Nous avons tous, collectivement quelque chose à gagner avec des effets qui vont durer sur le long terme. »
La puissance du soft power est plus forte que toutes les campagnes de communication qui pourront être organisées. Nous sommes d’ailleurs les champions d’Europe pour accueillir des implantations étrangères. « Je ne suis pas loin de penser que dans certaines grandes implantations étrangères le soft power a joué un rôle déterminant ».
Les 400 chefs d’entreprise dans la salle ont été conquis … et nous aussi. Organisons-nous pour profiter à fond des JO 2024 et d’en faire notre évènement pour donner une image positive de nos entreprises, pour cultiver le soft power à la française !