Peut-être un dénouement heureux dans le feuilleton du Terminal à conteneurs du port de Douala.
Le recours en cassation introduit par les instances du port devant la Cour suprême a été rejeté « sans appel » ce qui conforte le Groupement APM/Bolloré dans la rénovation, la modernisation, l’exploitation et la maintenance du TAC de Douala que le groupe français gère depuis 2005.
Le bras de fer est à son comble depuis quelques jours, car les autorités portuaires ont empêché, par la mise en place d’un dispositif sécuritaire important, les salariés d’accéder au TAC, et donc au Tac de fonctionner.
En attendant d’autres péripéties Bolloré semble avoir emporté la 2ème manche et avec lui les 1500 salariés qui étaient menacés de licenciement puisque le plan du repreneur ne prévoyait aucune reprise de contrat de travail.